« La situation a évolué durant le mercato et à l’arrivée l’accord est très correct pour tout le monde. Sa famille a été très correcte dans les négociations avec le PSG, je les félicite, commente le dirigeant russe dans L’Equipe. Au début, l’hypothèse, c’était que Kylian reste. Après il y a eu des événements, des discussions, des réunions, et à un moment donné, il m’a affirmé vouloir rejoindre le PSG. J’ai écouté ses arguments de Kylian et de sa famille. Ce n’était pas ma volonté qu’il parte à Paris, c’est vrai. Mais je l’ai compris. Et je respecte beaucoup Kylian, le joueur et l’homme. J’ai beaucoup de respect pour sa famille, avec lequel on avait une relation très proche, surtout avec son père Wilfried. Quand la décision a été prise, il fallait trouver l’accord avec le PSG mais toujours à des conditions cohérentes avec les propositions faites par d’autres clubs. Certaines offres ne se refusent pas. De quel événement parlait-il ? Stop, je ne veux plus entrer dans les détails. Un jour, j’écrirai un livre. Un problème de le vendre au PSG ? Oui, je le confirme. On ne voulait pas renforcer Paris. Mais quand le joueur nous a expliqué sa motivation, il a fallu respecter son choix. Si je préférais le vendre au Real Madrid ? Oui, mais pas lui. On a dit à tous les clubs intéressés que c’est Kylian qui, à la fin, choisirait. Un accord entre deux clubs ne suffit pas sans l’accord du joueur. Il a préféré le projet de Paris. Avec qui il y a eu des tensions ? Oui, il y a eu des tensions avec le PSG. C’est normal quand les intérêts ne sont pas les mêmes. On a eu des frictions mais c’est resté correct. C’est très bien que Paris ait une équipe forte. Si ça peut aider le football français, tant mieux ».